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Crème pour Calvitie ou Pelade
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Crème pour Calvitie ou Pelade

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C'est une crème composée des huiles volatiles avec d'autres huiles préparée et étudiée scientifiquement , elle traite les problèmes d'infections de la peau , la calvitie et certains cas de psoriasis .

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C'est une crème composée des huiles volatiles avec d'autres huiles préparée et étudiée scientifiquement , elle traite les problèmes d'infections de la peau , la calvitie et certains cas de psoriasis .

Utilisation :

Utilisez cette crème 3 fois par jour pour une résultat plus rapide ,
Crème 100% naturelle sans effet secondaire et efficace .

L'hérédité : le principal responsable

Causes alopécies Lorsque la perte de cheveux est héréditaire, on parle d'alopécie androgénétique (à ne pas confondre avec l'alopécie androgénique, qui concerne la perte des cheveux sous l'influence des hormones mâles). Les follicules héritent d'une sensibilité particulière à l'action conjuguée de la testostérone et d'une enzyme appelée 5 a-réductase. Une fois la rencontre de ces deux éléments effectuée, une nouvelle hormone appelée DHT est produite. Un follicule sensibilisé verra son cycle de croissance perturbé, accéléré, et finira par se fatiguer ; le cheveu repousse alors de plus en plus fin pour finir par disparaître totalement.

Les causes secondaires de l'alopécie

LES HORMONES

Les hormones fluctuent tout au long de notre vie et peuvent influencer la santé de nos cheveux. Ainsi il est fréquent qu'à la ménopause, après un accouchement, après la prise d'un traitement contraceptif ou substitutif ou encore dans le cas d'un dérèglement thyroïdien, que les hormones femelles diminuent brutalement. Les hormones mâles, appelées hormones androgènes, prennent alors le dessus, on parle dans ce cas d'alopécie androgénique. Mais, il n'est pas nécessaire que la production d'hormones change pour déclencher une alopécie : il peut également s'agir d'une hypersensibilité du follicule héritée, on parlera alors d'alopécie hyperandrogénique. Ce dernier trouble touche les hommes dans 70% des cas.

LE STRESS

Là encore les hormones entrent en jeu. Déréglées par un stress important, les glandes surrénales vont accroître significativement la production d'hormones androgènes (hormones mâles) et perturber le fonctionnement du follicule chez les individus sensibilisés par l'hérédité. L'alopécie consécutive au stress ne peut se manifester que sur un terrain favorable. L'importance de la chute dépendra du type de stress. Alors que le stress de la vie de tous les jours entraîne des conséquences néfastes à long terme sur la santé générale de la chevelure, un stress brutal et important provoque une chute importante jusqu'à 4 mois après l'événement.

LA CHIMIOTHÉRAPIE

Avant tout, il est nécessaire de préciser que toute chimiothérapie n'entraîne pas obligatoirement la chute des cheveux et que le déclenchement ou non d'une alopécie dépendra du protocole utilisé. A savoir également, les réactions au traitement varient d'une personne à une autre, en fonction du terrain et de sa sensibilité aux toxines. Les cheveux se mettent généralement à repousser un mois après la fin de la chimiothérapie, au rythme d'un centimètre par mois.

LA PELADE

Maladie auto-immune, imprévisible et se déclarant soudainement, la pelade touche aussi bien les hommes que les femmes. Elle se manifeste par l'apparition d'une ou plusieurs plaques rondes, les follicules se mettent en pause et les cheveux ne repoussent plus. Les causes de la pelade sont encore mal connues (on soupçonne toutefois un stress important de jouer un rôle de déclencheur), et s'il est possible de stimuler la repousse du cheveu par des traitements appropriés, les médecins sont incapables de prévoir le déclenchement de la maladie ni d'anticiper une éventuelle rechute.

LES CARENCES ALIMENTAIRES

La carence alimentaire la plus souvent impliquée dans l'alopécie concerne la carence en fer. Sans fer, le sang ne peut être correctement oxygéné et le cheveu devient alors terne et cassant. Les femmes sont les sujets les plus à risque car elles perdent parfois une quantité importante de fer au cours des règles et ne compensent pas suffisamment par l'alimentation. Il n'est pas toujours évident de repérer une alopécie reliée à une carence ferrique, la chute étant progressive et non localisée. Ce sont généralement d'autres symptômes (fatigue, pâleur, ...) qui mettent sur la voie les patients concernés.

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